Coup d’œil sur une partie du commentaire de Fathi Derder, publié dans le quotidien « Le Temps » le 4 septembre 2012 (Le texte complet disponible sur le site www.letemps.ch)
Le Conseil National va aborder le sujet des FRI (formation, recherche et innovation), et son financement qui fait débat, lors de la première semaine de la session d’automne qui débute lundi 10 septembre. Si « tout le monde » soutient ces trois thèmes plutôt louables, personne ou presque n’est prêt à confier une enveloppe budgétaire digne de répondre aux besoins réels. La rigueur budgétaire et le système « anachronique » d’aide aux étudiants doivent être revus et corrigés afin d’atteindre un bon équilibre dans le domaine de la formation supérieure. C’est pourquoi, le conseiller national PLR, Fathi Derder encourage à ouvrir le débat et aller de l’avant en organisant des Etats généraux.
Décidément, j’aime Zurich. Notre capitale économique donne du souffle au pays. De l’ambition, de l’ouverture. C’est une locomotive qui permet à la Suisse de dépoussiérer ses habits conservateurs, pour entrer dans une vraie dynamique progressiste et créative. Zurich a amorcé sa révolution en 1980, mais l’a réellement concrétisée, à la fin des années 90, avec le mouvement de libéralisation des clubs, bistrots, et autres lieux de culture. Résultat: une explosion de l’offre, et de la vie! Avec, à la clé, la métamorphose d’une ville. Un exemple pour le reste du pays. Et ce paradoxe: les rêves des révolutionnaires des années 80 se sont réalisés avec la libéralisation des commerces! Un projet de société de droite, dans une ville rose-verte…
Le 19 juin, le canton de Neuchâtel a adopté à une large majorité une réforme fiscale avant-gardiste, pragmatique et équilibrée. Loin de transformer Neuchâtel en paradis fiscal, elle le place en position très favorable pour conserver ses entreprises et leur centre de décision, respectivement les faire s'installer.
Interview de Fulvio Pelli dans Le Temps du samedi 23 avril 2011
Fulvio Pelli réagit aux propos d’Urs Schwaller : le PLR ne perdra pas son âme dans des alliances tactiques. « Je ne mange pas de ce pain-là », dit-il. Pour le président du parti, « le PLR est à la droite du centre et personne n’est obligé de discuter avec nous. »
Ironie du sort! Le jour même où j’ai été élu comme représentant de la FMH à la vice-présidence de l’Union suisse des professions libérales (USPL), la société fraîchement fondée «Médecins de familles Suisse» lançait l’initiative populaire «Oui à la médecine de famille». Cette initiative entend introduire le texte suivant dans la Constitution: «(…), la Confédération et les cantons veillent à ce que la population dispose d’une offre de soins médicaux suffisante, accessible à tous, complète et de haute qualité fournie par des médecins de famille».
écrit par Martine Brunschwig Graf, conseillère nationale GE
Première nouvelle : la fin du remboursement des lunettes pour enfants a fait baisser leur prix ! Voilà ce que l’on apprend après trois mois d’application de la nouvelle décision de notre conseiller fédéral Didier Burkhalter de ne plus prendre en compte le remboursement des lunettes dans l’assurance maladie de base.
Fier comme Artaban, Christian Levrat vient de présenter la plate-forme électorale en dix points du parti socialiste, « le parti de l’intérêt général » d’un petit cinquième de l’électorat. Et le chef des camarades d’insister sur le modernisme de sa vision de la Suisse. Or une lecture critique, même superficielle, en démontre la ringardise. Sans même évoquer une rhétorique de lutte des classes, aux antipodes de la réalité vécue par les habitants de ce pays. Bref, plutôt que par le modernisme, c’est par le misérabilisme que le PS se profile en 2011.
écrit par Christian Luscher, Conseiller national GE
L’Assemblée fédérale a décidé d’approuver et de mettre en œuvre la Convention du Conseil de l’Europe sur la cybercriminalité, entrée en vigueur le 1er juillet 2004 et que la Suisse avait signée en 2001. Nul abandon de la souveraineté suisse dans la poursuite des infractions, comme le craignait l’UDC. Pas d’adhésion aveugle au droit européen non plus comme le demandait le Parti socialiste, qui essaie systématiquement de nous faire entrer dans l’Europe par la petite porte.