L’alliance contre-nature bloque les mesures d’adaptation de la naturalisation
Le PLR condamne fermement la non-entrée en matière de la CIP-N
La commissions des institutions politiques du National a annoncé aujourd’hui qu’elle n’entrerait pas en matière sur la question de la révision de la loi sur la nationalité. Ce blocage n’est pas étonnant. En effet, voilà des années que l’alliance contre-nature des partis des extrêmes torpille tous les objets de loi importants en matière de droit des étrangers. Dans ce cas-ci, il est toutefois choquant de constater que, pour maintenir le blocage, le PS fait le choix de s’opposer depuis des mois à la position de sa propre conseillère fédérale. En matière de politique d’intégration, les Verts, malgré leur bonne volonté, agissent peu. L’UDC, quant à elle, n’a rien fait pour empêcher que cette loi ne se termine en queue de poisson et ce, bien que les conditions de naturalisation soient plus sévère. Le PLR demande depuis des années comme condition préalable à l’obtention de la nationalité suisse une intégration pragmatique, mesurable et efficace. Celui qui remplit ces conditions devrait obtenir la nationalité après avoir habité 12 ans en Suisse. Nous demandons au Conseil national de mettre un terme aux conséquences néfastes et purement tactiques de l’alliance contre-nature. Le PLR s’engage pour une politique vis-à-vis des étrangers stricte mais juste – par amour de la Suisse.
Prise de position du PLR.Les Libéraux-Radicaux sur la révision de la loi sur la nationalité