Dès le premier tour de scrutin, l’Assemblée fédérale a élu, par 154 voix, la conseillère aux États Karin Keller-Sutter au Conseil fédéral. Elle s’est dans la foulée dirigée vers le pupitre pour annoncer l’acceptation de son élection. Retrouvez le premier discours de Karin Keller-Sutter en tant que conseillère fédérale.
Vous aviez jusqu’au 30 novembre pour procéder à un éventuel changement de caisse maladie. En avez-vous profité ? Ou y avez-vous renoncé, estimant qu’un transfert ne vous apporterait aucun avantage substantiel ? Dans ces deux cas de figure, la question de votre liberté de choix s’est posée. Or, PLR.Les Libéraux-Radicaux aspire justement à renforcer cette liberté, améliorant par là même l’efficacité et la qualité des prestations.
Prof. Dr. méd. Frank Rühli et CN Philippe Nantermod, Président et Vice-Président de la commission spécialisée Santé du PLR
Comme chacun le sait, deux nouveaux membres du Conseil fédéral seront élus au cours de la prochaine session d’hiver. Mais l’élection complémentaire au Conseil fédéral ne nous occupera pas à elle seule : d’autres thèmes, comme le pacte migratoire ou encore la politique climatique, sont prévus à l’ordre du jour.
Après de longs mois de négociations et de débats au sein de la commission préliminaire, le traitement de la révision totale de la loi sur le CO2 pour la mise en œuvre de l’Accord de Paris sur le climat a pris fin. Comme lors de la ratification de l’Accord sur le climat, le PLR s'est engagé de manière constructive en faveur d'un renouvellement effectif de la politique climatique de la Suisse - mais cela malheureusement pas toujours avec succès. Il reste ainsi encore beaucoup à faire au Conseil national pour que la Suisse puisse bénéficier d'une politique climatique proportionnée, flexible et donc tournée vers le futur.
L’initiative populaire « Le droit suisse au lieu de juges étrangers (initiative pour l’autodétermination) » entend jouer sur la corde sensible et flatter nos bas instincts. Sur le papier, elle prône plus d’autodétermination et de souveraineté. Difficile d’être contre ces grands principes. Mais en-a-t-on vraiment besoin davantage ? Notre pays est-il vraiment muselé par le droit international ? Rien n’est moins sûr.
Profitant du succès reconnu de la Foire du Valais à Martigny, le magazine Bilan y organisait mercredi 3 octobre dernier, sa 9ème soirée Femmes Leaders. L’occasion pour moi de venir y rencontrer ces femmes à responsabilités, toutes professions confondues, partager leurs expériences professionnelles d’une part, mais également leur quotidien de mères pour certaines d’entre elles. Parmi les femmes politiques présentes ce soir-là, Anne-Laure Couchepin Vouilloz, présidente depuis janvier 2017 de la ville de Martigny (VS). Elle fait partie de ces femmes possédant une main de fer dans un gant de velours. Une femme décrite comme discrète mais qui pourtant, lorsqu’on l’aperçoit face à un auditoire, occupe remarquablement l’espace. Une prestance, un regard franc et bienveillant, une facilité d’expression à en faire des envieux, mais aussi un sourire communicatif. C’est ça Anne-Laure Couchepin Vouilloz, un mélange de force et d’empathie.
Déjà dix années se sont écoulées depuis la fusion entre les partis nationaux des libéraux et des radicaux démocrates. Le temps politique est toutefois bien plus rapide que le temps réel : les objectifs fixés à l’époque de la fusion ont été atteints bien plus rapidement que prévu. La fusion fut un succès : le pôle libéral est aujourd’hui le troisième parti national, constitue la deuxième force dans les villes et la plus grande force à l’échelon cantonal.
Il y a près d’un mois, je vous avais présenté un aperçu de la session d’automne 2018. Durant ces trois dernières semaines, certains des objectifs annoncés ont été atteints et, comme prévu, nous ne nous sommes pas ennuyés. En plus des objets déjà à l’ordre du jour au Conseil national, deux débats urgents – qui ont non seulement mis notre organisation, mais aussi nos nerfs à rude épreuve – ont dû être menés. Place désormais au bilan : quels objectifs le groupe libéral-radical a-t-il pu atteindre et pour quels objets a-t-il pu célébrer des succès ? Voici un bilan des objets présentés dans l’aperçu :
Porte-parole pour le PLR Suisse, j’arpente les couloirs de la Berne fédérale et travaille au plus proche des hommes et des femmes politiques que vous avez élus pour vous représenter. L’un des privilèges de ce métier est de vous faire rencontrer une foule impressionnante de nouvelles personnes. Des politiciens, des personnalités du monde des affaires, des médias bien sûr, mais également des citoyens comme vous et moi. Une partie de mon travail consiste à vous communiquer les sujets politiques traités, en omettant le côté « barbare » qu’ils peuvent parfois représenter. Mais qu’en est-il du fonctionnement de la vie politique ? De ses institutions ? De toute la machine et des personnes de l’ombre qui gravitent autour des élus ? Vous êtes nombreux à me faire parvenir ces demandes, je profite ici au passage pour vous remercier de vos courriels. Ainsi, je vous propose dès à présent de me suivre chaque mois au travers d’un blog qui suivra l’actualité du moment, dans les coulisses de cette vie politique qui passionne autant qu’elle interroge. A vos stylos ! Posez-moi votre question à barras@plr.ch et c’est avec plaisir que j’y répondrai ! Un autre regard sur la politique… Bonne lecture
L’égalité entre les hommes et les femmes est une préoccupation importante pour la population suisse et pour le PLR également. Nous devons combattre l’inégalité avec des mesures efficaces. Or, les mesures proposées dans la révision de la loi sur l’égalité permettent tout au plus un traitement placébo contre les conséquences d’une inégalité salariale et non de vraies solutions quant aux problèmes de fond. En effet, l’inégalité salariale est le résultat de plusieurs paramètres qui conduisent à des différences de traitement, liés à des conditions socio-culturelles complexes. La solution au problème de l’inégalité salariale ne passe pas par une loi, mais par une action coordonnée à plusieurs niveaux pour permettre de combler les différences salariales présentes aujourd’hui encore en Suisse.