L’ère numérique entraine avec elle des opportunités technologiques permettant de faciliter notre travail. Les entreprises peuvent être plus performantes – mais l’administration bouge à peine ! Des processus intelligents pourraient pourtant soulager ses collaborateurs et lui permettraient de réaliser des économies. La nouvelle intervention parlementaire du groupe libéral-radical en montre le chemin.
La session d’automne 2018 sera dominée par l’un des objets les plus importants de cette législature : le Projet fiscal 17. Par ailleurs – et c’est une première – aucune initiative populaire n’est à l’ordre du jour, ce qui ne veut bien sûr pas dire que nous allons nous ennuyer dans la Berne fédérale au cours des trois prochaines semaines. Les objets suivants promettent en effet de nous tenir bien occupés :
par Hugues Hiltpold, Vice-président du groupe libéral-radical
...rejetons les deux initiatives agricoles le 23 septembre !
Si ces deux initiatives venaient à être acceptées, leur mise en œuvre aurait des conséquences désastreuses pour le développement de notre agriculture : toujours plus de contraintes administratives, sans compter la perte de valeur ajoutée des produits suisses.
La numérisation entraine un changement durable dans notre vie et nous pousse à en repenser les processus et l’organisation, tant dans le secteur privé que dans le secteur public. L’administration fédérale a elle aussi reconnu les chances que nous offre la numérisation et a lancé quelques intéressants projets visant à simplifier les processus dont la population, les entreprises, mais aussi les cantons peuvent potentiellement tirer profit.
Je m’appelle Ivan, je viens du Tessin, j’ai fait mes études à l’Université de Lausanne et j’ai commencé à travailler dans la team campagnes du PLR Suisse en février 2018. Jusqu’à présent, j’ai eu l’occasion de participer à de nombreux événements du parti, au cours desquels j’ai pu rencontrer différentes personnes : des parlementaires, des présidents et secrétaires de sections cantonales et même les conseillers fédéraux PLR.
Nos objectifs électoraux : gagner ensemble et dépasser le PS. Notre principale mission est d’assurer le modèle à succès suisse pour les générations futures. L’accent est mis sur la classe moyenne, car elle représente le fondement de la Suisse. Pour atteindre nos objectifs, nous devons aussi obtenir des majorités avec d’autres partis, sans pour autant renier nos origines libérales.
Faisant preuve d’un conservatisme anachronique dans sa vision du rôle des entreprises publiques, le PS veut revenir 30 ans en arrière, vers un modèle d’entreprise obsolète lourd et peu efficace. Agissant ainsi, il s’oppose au progrès et à la numérisation pour de simples motifs idéologiques. Le PLR estime qu’il est essentiel de vivre avec son temps et qu’adapter les conditions-cadres des entreprises publiques aux nouvelles réalités plutôt que de larmoyer un passé idéalisé est une priorité. En pratiquant la politique de l’autruche et en combattant la numérisation et le progrès, le PS mène le Service public à sa perte.
Au travers de leur initiative « Pour des aliments équitables », les Verts tentent de nous dicter ce que nous devons manger à coups de prescriptions en matière de production. L’initiative réduit considérablement la liberté de choix des consommateurs, entraîne une augmentation des prix et crée un énorme monstre bureaucratique. Elle est totalement en contradiction avec notre société libérale et doit être refusée.
Le Gothard est à mes yeux le symbole de nos relations avec l’UE : nous voulons à la fois une Suisse forte, indépendante et souveraine, tout en entretenant de bonnes relations – florissantes sur le plan économique – avec nos voisins. Nous voulons être prêts, en tant que parti du futur, à nous ouvrir et à adapter ces relations aux nouvelles réalités.
Version courte du discours de Petra Gössi à l’occasion de l’Assemblée des délégués PLR du 23 juin 2018 à Airolo, TI. Les délégués ont suivi leur présidente avec une écrasante majorité.