Quoi de plus important que la santé ? C’est la raison pour laquelle nous avons dès le début, soutenu les mesures du Conseil fédéral– nous devons toutes et tous agir de façon responsable afin d’éviter l’effondrement de notre système de santé.
Aujourd’hui, il est plus important que jamais de se battre pour chaque emploi. La première vague a déjà frappé durement l’économie, et la deuxième vague aggrave encore la situation.
C'est pourquoi nous avons développé différentes stratégies avec des mesures à court et à long terme. Notre stratégie, présentée en août 2019, est plus urgente que jamais pour relancer l'économie.
Sur cette page, nous vous informons de nos activités en lien avec la crise du coronavirus au niveau cantonal et national.
Le PLR présente un plan d’action pour les 100 prochains jours
Après des mois d'échecs et de mésaventures, la fin des nombreuses restrictions imposées à la société et à l'économie approche néanmoins grâce à la disponibilité des vaccins. La population et les entreprises ont besoin d’avoir des perspectives et oui monsieur le conseiller fédéral Berset, la situation est urgente. C’est la raison pour laquelle nous demandons au Conseil fédéral et particulièrement au DFI de prendre leurs responsabilités et de proposer au plus vite une stratégie de sortie de crise claire et compréhensible. Malheureusement, ils ont, aujourd'hui, une fois de plus échoué à répondre à cette demande. Nous présentons ce jour nos objectifs et notre plan d’action pour les 100 prochains jours afin de protéger la population, indemniser les entreprises et indépendants et vacciner le plus grand nombre de personnes.
Le DFI et les cantons doivent prendre leurs responsabilités
D’une part, le Conseil fédéral renforce ses mesures de protection, d’autre part la Suisse est à la traîne en matière de vaccination et navigue plus à vue que jamais. Le PLR demande au DFI et aux cantons d’assumer leurs responsabilités en accélérant les vaccinations afin que les restrictions soient levées le plus tôt possible. La décision du Conseil fédéral d’assouplir les procédures de soutien aux entreprises touchées est à saluer. Cependant, il est indispensable que les autorités fédérales et cantonales mettent immédiatement et de façon non bureaucratique à disposition les montants pour les PME atteintes. Il en va de leur survie. Plus la vaccination sera rapide et complète, mieux les entreprises peuvent être aidées.
Quelques semaines à peine après avoir amorcé la mise en place d’un système de coordination, le Conseil fédéral change une nouvelle fois de cap en supprimant le régime d’exception pour les cantons, ce qui est difficilement compréhensible. Ces allers-retours ne traduisent en rien une gestion sérieuse de crise. Le PLR demande ainsi que le Conseil fédéral, et particulièrement le DFI, définisse au plus vite une stratégie claire, notamment en ce qui concerne les vaccins, afin de protéger rapidement la population et de garantir plus de sécurité dans la planification. C’est uniquement de cette manière que nous pourrons combattre la pandémie et permettre une sortie de crise rapide tout en préservant les emplois. Par ailleurs, les branches durement touchées ont urgemment besoin d’un soutien financier. Le PLR demande au Conseil fédéral d’agir dans les plus brefs délais, comme le prévoit la loi COVID adoptée en décembre.
Le PLR prend acte des décisions du jour du Conseil fédéral
Le Conseil fédéral a annoncé aujourd’hui un renforcement des mesures pour lutter contre le COVID-19. Le PLR prend acte de ces décisions tout en demandant que le Conseil fédéral définisse une stratégie claire en ce qui concerne les semaines à venir, précisément s’agissant de la sortie de crise. Cela nécessite notamment un plan de vaccination cohérent, représentant le meilleur instrument pour venir à bout du virus. En outre, le PLR continue d’exiger la mise sur pied d’un système de coordination compréhensible que le Conseil fédéral s’évertue à ignorer depuis le mois d’avril.
Après des annonces aussi inattendues qu’incomprises mardi, le Conseil fédéral fait un pas dans la bonne direction afin de contenir efficacement la pandémie de Covid-19. Comme le demandait le PLR depuis le mois d’avril, le Conseil fédéral met en place un début de système de coordination. Néanmoins, certains points doivent encore être clarifiés, notamment en ce qui concerne la mise en œuvre. En raison des mesures drastiques prises par les cantons ayant un nombre de cas trop élevé, un soutien financier est également nécessaire rapidement pour les entreprises directement touchées. Afin de protéger la santé de la population et de maintenir le nombre de décès liés au coronavirus aussi bas que possible, il est important de réduire considérablement le nombre d'infections. Pour le PLR, il est clair qu'il n'est aucunement question d'opposer économie et santé.
Nous sommes tous touchés de près ou de loin par les terribles conséquences induites par le coronavirus. Plus que jamais, le virus emporte des vies et brise des familles, il détruit également les rêves et réalisations d’une vie, nous laissant souvent impuissants. Afin d’améliorer au plus vite cette situation, il est nécessaire d’avoir une stratégie claire et les mesures les plus efficaces possibles. Il est également indispensable que tous les acteurs concernés travaillent main dans la main tant sur le plan national que cantonal.
Certains cantons ont imposé, dès le début de la deuxième vague et à juste titre un dispositif drastique comme la fermeture des restaurants, des commerces, des cinémas, des cafés, des lieux culturels et sportifs. Sans en tenir compte, le Conseil fédéral propose maintenant d’appliquer uniformément de nouvelles contraintes, à la veille de Noël.
Cette démarche est inacceptable et nous laisse impuissants.
Nous, citoyens, avons déjà consenti à des sacrifices importants. Pour cette raison nous exigeons que le Conseil fédéral revoie sa copie. Nous soutenons les mesures sanitaires indispensables. Mais celles-ci doivent demeurer proportionnées, et être appliquées là où la situation n’est plus sous contrôle. Un système d’intervention graduel, différencié selon les cantons et tenant compte de la gravité de la situation, doit être mis en place. L’évolution du taux de reproduction du virus (RO), celle du nombre d’hospitalisations par habitant tout comme d’autres chiffres clefs peuvent servir de lignes directrices.
Par ailleurs, il doit être tenu compte des restrictions que les cantons ont déjà adoptées durant les dernières semaines et les derniers jours. Avant d’aller plus loin dans ses interventions, le Conseil fédéral doit seulement intervenir lorsque les mesures prises par les cantons ne sont pas efficaces. Il est d’autant plus important que le Conseil fédéral évalue les mesures régionales prises avant de mettre en œuvres de nouvelles restrictions nationales. Enfin, le Conseil fédéral doit impérativement faire connaitre les mesures supplémentaires de soutien à l’économie adoptées parallèlement à l’annonce de nouvelles restrictions.
Notre liberté doit être protégée, au même titre que notre santé physique et psychique. C’est pour cela que nous refusons l’application aveugle et sans discernement de nouvelles règles mal anticipées.
Nous, le PLR.Les Libéraux-Radicaux, nous engageons pour la liberté de tout un chacun, garantie par notre responsabilité. Malgré cette période difficile, nous vous souhaitons de bonnes fêtes.
Alors que vendredi dernier, le conseiller fédéral Alain Berset appelait les cantons à agir rapidement pour endiguer le nombre de cas COVID-19, il rajoute aujourd’hui du flou à son action et joue avec la crédibilité de toutes les institutions impliquées. Pour le PLR, il est clair que les cantons doivent jouer leur rôle et assumer leurs responsabilités – il en va de la santé psychique et émotionnelle de la population et des emplois. Le Conseil fédéral doit mettre en place une politique cohérente et inspirant la confiance, en étroite collaboration avec les cantons.
Très important pour notre pays, le secteur du tourisme emploie – directement ou indirectement – de nombreux citoyens. C’est tout particulièrement le cas dans les cantons alpins, où une grande partie de la population vit du tourisme hivernal.
Pour des aides financières rapides et ciblées en faveur des PME
Le PLR salue les modifications proposées dans le cadre de la révision de la loi COVID-19. En relevant le montant total des fonds mis à disposition à 1 milliard de francs et le pourcentage des aides assumé par la Confédération à environ deux tiers, les secteurs les plus touchés par la crise seront soutenus efficacement et rapidement. De nombreuses entreprises et places de travail sont en jeu. Les cantons doivent désormais terminer le travail de mise en œuvre de leurs programmes de soutien, afin que les aides puissent être versées rapidement.
Retrouvez sur notre carte les dernières actualités des sections cantonales, les liens utiles des cantons à l’attention des entreprises et de l’économie, mais aussi les initiatives de notre base.
N’hésitez pas à nous soumettre votre idée ou initiative à massoz@fdp.ch
Cette liste est non exhaustive et fait l’objet d’une actualisation continue.
Argovie
Lettre ouverte du 17 décembre :
Planification dans les variantes :
Comment et quand le Conseil d’État a-t-il organisé la planification en variantes pour la situation particulière actuelle ?
Quels sont les tâches assignées à l'État-major cantonal, le Département de la protection civile et de l'armée et le Département de la santé, et avec quels délais ?
Quels sont les ordres spéciaux, quand et par qui sont-ils donnés à l'État-major cantonal et aux organisations régionales de protection civile ?
Quels scénarios le Conseil d’État envisage-t-il pour les prochains mois et quelles décisions de réserve a-t-il prises ?
Déploiement de la protection civile :
Qui évalue les demandes de soutien de la protection civile aux services de santé et quels sont les critères ?
Quelle est la position du Conseil d’État sur le principe selon lequel la protection civile ne devrait être déployée qu'à titre subsidiaire, après épuisement des ressources propres ?
Implication/information des ORP et des communes :
De quelle manière les ORP et les communes sont-elles actuellement impliquées dans la gestion de la situation liée au coronavirus ?
Les communes sont-elles informées du nombre de personnes en isolement et en quarantaine sur leur territoire afin de pouvoir intervenir localement si nécessaire (information à la population, vérification des éventuels clusters, etc.)
Déploiement de l'État-major cantonal :
Pourquoi l'État-major cantonal n'est-il pas déployé (au moins en partie) pour cette deuxième vague ?
Quels avantages la gestion de la situation par la Task Force offre-t-elle par rapport au déploiement de l’État-major cantonal ?
Selon quels critères l’État-major cantonal est-il déployé et qui en est responsable ?
Procédure concernant la vaccination :
Qui sera chargé de la vaccination ? Une demande a-t-elle déjà été faite à la troupe sanitaire de l'armée suisse ?
Quelles sont les infrastructures prévues pour la première vague de vaccination (patients à risque et personnel médical) ? Qui en est responsable ?
Quand le canton d'Argovie sera-t-il prêt pour les vaccinations ?
L'OFSP garantit-il une collaboration harmonieuse et efficace avec les cantons ?
Au Conseil d’État : demande de propositions rapides et concrètes de dispositions relatives aux difficultés des entreprises dans les secteurs qui sont gravement touchés.
Assurer la survie des entreprises qui ont été frappées de plein fouet par la crise sans qu’elles en soient responsables.
Communication claire du gouvernement à la population.
Mettre rapidement en œuvre des mesures de soutien ciblées pour les entreprises.
Les conditions d’octroi des aides économiques de l’État doivent être aussi uniformes que possible.
Exceptions à cette règle : les entreprises qui ne sont pas viables à long terme et les entreprises contrôlées par l’État.
Pas d’augmentation de salaire pour les employés de l’administration publique.
Motion : Le Conseil d’État devrait approuver de nouvelles mesures d'aide pour les cas de rigueur et les entreprises menacées de faillite si leur situation économique est causée par les mesures « Covid-19 ».
Dépôt de motion : Débat au Grand Conseil sur les conséquences économiques des mesures fédérales et cantonales liées au coronavirus.
Motion à valeur de directive urgente : Le Conseil d’État doit approuver de nouvelles mesures d’aide pour les cas de rigueur et les entreprises menacées de faillite si leur situation économique est causée par les mesures « Covid-19 ».
Exemption générale et temporaire des autorisations exceptionnelles pour le chauffage extérieur dans les établissements de restauration.
Les magasins de vente doivent recevoir des permis temporaires pour le travail le dimanche durant toute la saison de l’Avent.
Le Conseil d’État devrait :
Formuler une aide ciblée pour les cas de rigueur, qui apporte à nouveau un soutien rapide et non bureaucratique aux PME touchées par la crise.
Mettre à disposition un montant de 10 millions de francs suisses pour l’aide aux PME basées dans la région de Bâle et touchées par la seconde vague de coronavirus en 2021.
Seules les entreprises qui étaient rentables ou viables avant la crise et qui n’ont pas déjà reçu d'autres aides financières de la Confédération sont éligibles. Exceptions : Indemnisation du chômage partiel et de la perte de gains ainsi que des crédits Covid.
Reprendre les subventions fédérales du canton conformément à la loi Covid-19.
Questions au Conseil d’État :
Est-il prévu d'introduire temporairement des permis de constructions mobilières simplifiés et gratuits ?
Aperçu de la manière dont les autorités locales traitent les redevances publiques ou l’utilisation temporaire pour les branches concernées ?
Existe-t-il des communes qui dispensent les branches concernées des droits de licence et d’autorisation ?
Le Conseil d’État est-il prêt à engager un dialogue avec les communes pour faciliter le travail des branches concernées et, avec les municipalités, à veiller à ce que, dans la mesure du possible, les facilités soient mises en œuvre et les frais supprimés ?
En temps de crise, réduire au minimum le poids des frais de l’État pour les entreprises (par exemple, les frais annuels pour l’exploitation d’un restaurant)
Motion en collaboration avec le PDC, l’Alliance verte, le LDP, le PS et l’UDC : programme d’aide cantonale substantielle pour les secteurs de l’hébergement et de la restauration
10 - 15 millions de francs suisses et de contributions non remboursables.
Lié à des conditions claires : Respect des obligations envers les pouvoirs publics, les caisses de sécurité sociale, les employés et les particuliers. Pas de licenciements pendant la période de soutien pour des raisons économiques.
Trois motions urgentes pour une aide d'urgence aux entreprises, l‘abandon des intérêts sur les arriérés d'impôts et l'accélération des paiements par le canton
Des réductions d’impôts : Pour les particuliers à partir de 2021 (impôt sur le revenu et sur la fortune).
Soutien aux restaurants, bars et discothèques : augmentation du soutien.
Soutien aux mesures d’épargne : Tripler les fonds publics (de 5 à 15 millions de francs).
Félicitation de la décision du Conseil d'État de prendre en charge 10 % des 20 % de chômage partiel non indemnisés.
Les employeurs devraient bénéficier d’une aide accrue afin qu'ils puissent eux aussi gagner un revenu pendant cette période
Fournir rapidement une assistance supplémentaire, notamment pour les cas de rigueur.
Considérer les aides comme des contributions au régime des allocations pour perte de gains ; en particulier, les montants validés par le Grand Conseil et le plan de redressement doivent être utilisés.
Soutenir financièrement les activités économiques au mois de novembre affectées par les décisions du Conseil d’État (par exemple, la prise en charge du loyer de novembre).
Évolution des données clés (croissance du PIB, indice de consommation, taux de chômage, faillites, nouvelles entreprises et start-ups et autres) de l'économie glaronnaise pour l'année en cours ?
Les changements de ces valeurs par rapport à l'année précédente ?
Interprétation du gouvernement de Glaris de ces données et de leur évolution ?
Réaction concrète aux différents changements ?
Évaluation de l'évolution future (à court et moyen terme) ?
Comment le gouvernement évalue-t-il la nécessité d'un soutien administratif ?
Des mesures sont-elles prévues en matière de soutien administratif dont peuvent bénéficier les indépendants et les sociétés, ainsi que les entreprises et le secteur de la culture en particulier, pour exploiter les possibilités offertes ?
Existe-t-il un « point de contact unique », un point de contact central pour le soutien économique pour les entreprises susmentionnées ?
Le gouvernement partage-t-il l'avis des parties prenantes selon lequel un soutien et des conseils de qualité pour faire face aux exigences administratives peuvent être nécessaires et avantageux tant pour les entreprises concernées que pour les points de contact cantonaux ?
Quel est l'échange entre les différentes compétences et points de contact au niveau cantonal, mais aussi verticalement entre la Confédération, le canton et les communes ? Une simplification ou des synergies sont-elles possibles ?
Les événements qui avaient déjà reçu une autorisation avant la crise mais qui n’ont pas pu la mettre en œuvre ne devraient pas avoir à payer à nouveau les coûts d’une deuxième autorisation.
Postulat : Examiner l’augmentation de la capacité d’action du gouvernement dans des cas de rigueur et extraordinaires.
Décider des mesures d’aide et de soutien plus rapidement, plus efficacement et plus effectivement.
Mettre en place des préparations rapides afin qu’après la mise en œuvre des mesures pour les cas de rigueur de la Confédération, une aide immédiate puisse également être fournie à Lucerne.
Eviter des pertes de revenus considérables pour les hôpitaux : si un nombre suffisant de lits doit être garanti pour les patients atteints de Covid-19, et les hôpitaux devant renoncer dans ces cas à des interventions non urgentes ; tant que la capacité est garantie, les hôpitaux doivent pouvoir prendre des décisions en prenant en compte leur survie économique.
Donc, pas d’interdiction des interventions électives pour les hôpitaux tant qu’il n’y a pas d’utilisation critique des capacités.
Si et comment les mesures de rigueur prévues dans la loi Covid-19 de la Confédération peuvent-elles être mises en œuvre dans le canton de Lucerne ?
Des mesures cantonales immédiates supplémentaires seront-elles nécessaires au cours de la période précédant la mise en œuvre ?
Peut-on convaincre la Confédération de verser une avance afin qu’il ne soit pas nécessaire d’attendre février que les cantons aient réglé les choses pour que le paiement puisse être effectué ?
Est-il possible d’établir rapidement des critères et des procédures uniformes et intercantonaux pour évaluer et autoriser le paiement des mesures prises pour les cas de rigueur ?
Préparation de la part du canton afin que Lucerne puisse agir immédiatement si il est impliqué dans les mesures fédérales en février ?
Les faits mentionnés correspondent-ils à la réalité ?
Pourquoi le gouvernement s'abstient-il de créer et d'envoyer des documents PDF sécurisés ?
Le canton donne-t-il des directives au centre de médecine de laboratoire, aux hôpitaux et au service médical cantonal concernant la sécurité des documents ?
Ce problème se pose-t-il également pour d'autres documents officiels du canton ? Si oui, pour quel type de documents et dans quels services ?
Le gouvernement a-t-il l'intention de remédier à cette situation immédiatement ?
Le gouvernement a-t-il l'intention de prendre des mesures contre tout abus ? Quelles sont les mesures envisagées pour enquêter sur les abus éventuels ?
Paquet de mesures visant à promouvoir le potentiel des ressources du canton. Amélioration de l'attractivité fiscale dans les branches où le canton est particulièrement peu attractif.
Réduire l'impôt sur la fortune et l'impôt sur le revenu pour les particuliers à partir de 2022.
La durée d'amortissement des investissements autorisés par la législation fiscale doit être réduite (à trois ans) pour une période limitée.
Imposition de redevances fondées sur le principe du pollueur-payeur et suppression des redevances inutiles.
Commerce et économie
Prolonger les heures d'ouverture des magasins en soirée et autoriser les ventes le dimanche jusqu'à nouvel ordre.
Rendre les horaires de travail plus flexibles.
Les entreprises ayant un bon potentiel d'avenir et qui étaient rentables avant la crise du coronavirus devraient être soutenues par l'État au moyen de prêts et de garanties, si nécessaire en plus du chômage partiel.
Les contributions à fonds perdus ne devraient être versées qu'en cas de difficultés réelles, dans des entreprises auparavant saines et dont les perspectives d'avenir sont intactes.
Alléger les frais et les charges des industries concernées.
État et canton
Réduire le déficit structurel à partir de 2022, réduire la quote-part de l’État
L'innovation et la numérisation doivent être la priorité absolue dans tous les domaines des affaires, de la politique et du gouvernement.
Promouvoir l'innovation dans l'État. Fusionner ou réorganiser les services gouvernementaux dans le sens d'un ajustement structurel.
L'instrument de l'allégement fiscal doit être utilisé activement pour motiver les entreprises à investir à Saint-Gall en tant que site d'implantation en plus de leurs propres investissements.
Pour créer de nouveaux emplois et ainsi prévenir le chômage, il convient d'encourager le développement de nouvelles zones économiques.
Le canton va immédiatement créer une task force (similaire à l'équipe de direction cantonale) pour préparer la troisième vague.
Avec l'augmentation prévue du chômage, il convient d'examiner la perméabilité du système de soins de santé aux changements de carrière. Pour ce faire, des obstacles doivent être supprimés.
Soutenir de manière ciblée le plus grand nombre possible d’entreprises qui ont une chance de survie durable, afin de préserver et de sécuriser les emplois de demain.
Des mesures de soutien cantonales, telles que des prêts aux start-ups ou des prêts à fonds perdus, sont-ils prévus pour les entreprises touchées par les restrictions imposées par la crise du coronavirus ?
Le gouvernement voit-il un danger que les efforts pour promouvoir et attirer les start-ups soient anéantis par un manque de soutien, malgré l'importance des start-ups pour un développement économique dynamique ?
Le gouvernement est-il prêt à accorder des indemnités de chômage partiel aux start-ups sans bureaucratie supplémentaire et à reconnaître les défis particuliers des start-ups dans la crise du coronavirus ?
Une entreprise ne devrait pas avoir à utiliser les réserves générées pour compenser les fermetures/restrictions imposées par l'État. Les mesures relatives aux cas de rigueur doivent maintenant être définies et payées le plus rapidement possible.
La réduction du taux d'imposition, demandée en décembre demandée par le PLR, aurait été un soulagement simple et actif pour les ménages privés. Le PLR l'exige maintenant pour le prochain budget.
Les personnes qui ne présentent pas de symptômes sont identifiées comme faisant partie de la contagion. Des tests plus nombreux et réguliers sont nécessaires.
En plus des centres de vaccination, les médecins de famille devraient également être impliqués dans le programme de vaccination. Et l'enregistrement ne devrait pas être possible uniquement via Internet.
Des solutions adaptées à un usage quotidien, avec peu de restrictions mais une grande protection des personnes exposées au virus, sont nécessaires. Le PLR appelle à des solutions innovantes, notamment dans les maisons de retraite, afin que les restrictions puissent être rapidement assouplies ou levées et que les entreprises fermées par l'État puissent reprendre leurs activités.
La cohésion au sein de la population est importante, notamment en soutenant les magasins et les restaurants locaux touchés par les fermetures au moyen de bons d'achat, de commandes à emporter et de commandes téléphoniques afin de limiter leurs dommages économiques.
Avec quels besoins et missions les hôpitaux de Schwyz ont-ils approché le Conseil d’État concernant le coronavirus (couverture du déficit) ?
De quelle manière et en quels termes financiers le Conseil d’État compte-t-il soutenir les hôpitaux de Schwyz en ce qui concerne le coronavirus (couverture du déficit) ?
Sur base des premières expériences liées au coronavirus, quels ajustements en matière de soins hospitaliers ou de contrats de gestion avec les hôpitaux de Schwyz le Conseil d’État envisage-t-il (interdiction des interventions électives, limites de capacité, aspects financiers, etc.) ?
Comment le Conseil d’État évalue-t-il la situation actuelle et future des jeunes et les effets des restrictions susmentionnées ?
Le canton est-il en contact avec les entreprises ? Quelles mesures ont déjà été prises et quelles mesures et nouveaux modèles sont prévus pour garantir que les jeunes qui quittent l'école ont le bon choix d'apprentissage et pour soutenir les entreprises ?
Comment se passe la coopération entre la task force fédérale "Perspektive Berufslehre" et le canton de Thurgovie ?
Quelle est la situation actuelle des offres de passerelle et de la 10e année scolaire ?
Appuie le système de coordination préconisé par le PLR Suisse depuis le début de la pandémie
Amélioration de la sécurité de planification, en tenant compte des différentes conditions régionales ainsi que des chiffres actuels et de la clarté pour la population.
Comment et quand le Conseil de d‘État compte-t-il appliquer l'ordonnance sur les cas de rigueur en Thurgovie ?
Des solutions sur mesure sont nécessaires en Thurgovie. Quels sont les secteurs professionnels particulièrement touchés en Thurgovie et qui peuvent être concernés ? Quelles sont leurs exigences ?
Est-il disposé à appliquer toutes les formes de mesures relatives aux cas de rigueur (prêts, garanties ou contributions non remboursables (à-fonds fonds) ?
Dans quelle mesure le canton a-t-il l'intention d'épuiser les fonds fédéraux ? Le canton est-il prêt à les utiliser pleinement si nécessaire ?
Les industries mentionnées ci-dessus sont des professions et des entreprises qui ne sont pas pertinentes d’un point de vue systémique. Néanmoins, l'ordonnance sur les cas de rigueur a été créée pour ces secteurs. Comment le Conseil de gouvernement évalue-t-il cette situation initiale d'un point de vue économique ou systémique ?
Demande au Conseil d‘État d'élaborer une déclaration de mission concrète pour le site économique de Thurgovie, en plus des directives gouvernementales et sur la base de la stratégie Thurgovie 2040
Privilégier et compléter le système de soutien fédéral.
Accès rapide et simplifié aux prêts, aux crédits de solidarité et au chômage partiel.
Les contributions à fonds perdus doivent être utilisées en priorité pour les cas de rigueur, dans la mesure où ceux-ci résultent directement des restrictions imposées par l'État dans le cadre de la crise liée au coronavirus.
Ces crédits doivent s’étendre jusqu'en juin 2021.
Création d'un fonds de dotation adéquat pour sauver l'économie vaudoise.
Maintenir les obstacles au chômage partiel à un faible niveau, nouvelles formes simplifiées de crédits de solidarité.
Déclaration du groupe parlementaire PLR comprenant le paquet d’interventions « Covid-19 » :
Réglementation différenciée du port du masque.
Interpellation concernant les pratiques en matière de test pour le coronavirus.
Catalogue des mesures visant à apporter un soutien immédiat aux exploitations particulièrement touchées par les mesures liées au coronavirus pendant les saisons les plus froides de l’année jusqu'à la fin de l’épidémie.
Plus de quarantaine d’entrée, avec un test négatif ne dépassant pas 48h et asymptomatique et levée de la quarantaine dès qu’un test négatif est disponible.
Incitations/facilités/adaptations juridiques pour soutenir le travail à domicile.
Mesures/incitations visant à aider les personnes physiques à créer des emplois dans les ménages privés. Un soutien doit être apporté aux contrats de travail permanents assortis de conditions d’emploi équitables.
Où le conseil municipal voit-il une marge de manœuvre, des ressources (réserves) et un pouvoir de disposition pour lui-même dans une situation de stress, et où n'en voit-il pas ? Quels sont ces obstacles ?
Processus de la ville de Zurich pour préparer de tels scénarios de stress et cycle dans lequel ceux-ci sont réévalués et révisés ?
Les outils disponibles pour analyser ou simuler de telles situations de stress afin d'être mieux préparé lorsqu'elles se produisent ?
Pour quels types de scénarios de stress existe-t-il des plans de préparation ?
Où et sous quelle forme les informations les plus pertinentes sur ces questions sont-elles mises à la disposition du public ? Est-il prévu de ne pas partager certaines informations au public (pour des raisons tactiques préventives) ?
La ville de Zurich a-t-elle participé à des conférences ou à des réseaux de la ville sur la résilience ou les tests de stress et, si oui, lesquels et avec quels résultats ?
Comment le conseil municipal identifie-t-il les partenaires pertinents pour les situations de stress ? Ces partenaires sont-ils impliqués dans l'élaboration des scénarios de stress et sous quelle forme ?