Le PLR avait en effet réagi en 2008 suite aux premières expériences liées à l'entrée en vigueur des peines pécuniaires (jours-amende) et du fiasco dénoncé par les procureurs cantonaux en déposant une initiative parlementaire (Suppression ou subsidiarisation de la peine pécuniaire). En effet, un juge ne pouvait condamner un trafiquant de drogue transfrontalier qu'à des jours-amende avec sursis, sous le regard interloqué de l'accusé qui remerciait la justice de ce cadeau-bonus offert par la Confédération. Une peine qui ne permettait plus de condamner efficacement les criminels.
Désormais, les juges disposeront à nouveau de cet outil nécessaire de prévention et de répression qui permet de lutter efficacement contre la petite criminalité, qui touche directement la vie de nos concitoyens. Quant aux jours-amende, ils sont maintenus car ils permettent de poursuivre efficacement les infractions à la loi sur la circulation routière commises par des personnes bien intégrées et de manière équitable surtout depuis le tour de vis – voire les excès – résultant de l'adoption de « Via sicura ».
En réintroduisant les courtes peines privatives de liberté, le PLR a une fois de plus prouvé son rôle de leader en Suisse dans les domaines de la sécurité des citoyens et de la lutte contre la criminalité.
Liberté, Cohésion et Innovation – par amour de la Suisse
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