Le PLR défend, depuis toujours, une politique favorable aux PME et aux indépendants, en œuvrant pour leur offrir des conditions-cadres propices à leur développement. Nous luttons notamment pour réduire les entraves bureaucratiques, pour supprimer les éléments pénalisants tels que les droits de douanes, ou encore en libéralisant autant que faire se peut le commerce intérieur. Depuis le début de la crise du Covid-19, le PLR n’a eu de cesse de se battre pour soutenir les PME et les indépendants, mais surtout pour leur permettre de maintenir et poursuivre leurs activités. A contrario, la gauche a, jusqu’à ce jour, complètement ignoré les besoins des entrepreneurs, et a même tout fait pour les empêcher de prospérer, en leur mettant un nombre incalculable de bâtons dans les roues via une démultiplication de réglementations rigides.
La balle est dans le camp du Conseil fédéral
Aujourd’hui, le PS et la gauche dans son ensemble, se servent des PME et des indépendants pour occuper le devant de la scène. Les entrepreneurs n’ont pas besoin de la politique de l’arrosoir de la gauche pour survivre, mais de soutiens ciblés et surtout de mesures qui leur permettent de se développer sur le long terme, telles que la suppression des droits de douane sur les produits industriels, refusée par cette même gauche lors de cette session, ou encore un assouplissement de la règlementation en matière de droit du travail, combattue également par le PS et ses alliés. Le PLR réclame également depuis des années un taux de TVA unique, qui réduirait les procédures bureaucratiques et faciliterait ainsi la vie des PME. Ces dernières sont le cœur économique de notre pays et elles méritent mieux que de servir de strapontin pour les besoins de visibilité des candidats à la présidence du parti socialiste. Elles ont besoin de solutions claires et concrètes, en particulier face à la crise terrible qu’elles traversent actuellement. La balle est désormais dans le camp du Conseil fédéral. Lui seul peut adapter rapidement et efficacement l’ordonnance COVID-19 si nécessaire. En revanche, la demande d'une session extraordinaire, dont la gauche fait aujourd’hui état dans les médias, ralentirait le processus et le rendrait plus coûteux.
PLR.Les Libéraux-Radicaux. Avancer ensemble.