Le PLR rejette la „Rotgeldstrategie“ du PS

Il faut préserver la sphère privée par le biais de l‘impôt libératoire

Le PS voit dans l’impôt libératoire une menace pour la place financière suisse. En avril, le PLR a été le premier parti à présenter une stratégie financière ambitieuse (« Weissgeldstrategie ») pour répondre aux pressions internationales. Cette stratégie montre comment la place financière suisse renforcée et adaptée peut, à l’avenir, jouer un rôle encore plus grand dans la finance mondiale et créer des milliers d’emplois. Lorsque le PLR avait avancé avant tout le monde l’idée d’un impôt libératoire, la plupart des autres partis avaient dit qu’il s’agissait d’une illusion et qu’aucun pays n’accepterait de négocier sur une telle base. Le temps nous a donné raison. Grâce à l’impôt libératoire, de nombreux citoyens européens peuvent placer leur argent dans les banques suisses pour le préserver de l’inflation. Les récents événements politiques ont prouvé que la solution du PLR était la bonne et que sa politique financière allait dans la bonne direction, comme en témoigne le début des négociations de la Grande-Bretagne et de l’Allemagne avec la Suisse en vue de l’introduction d’un impôt libératoire. Le fait que de nombreux États européens se trouvent dans une situation délicate financièrement permet d’envisager que d’autres pays leur emboiteront le pas de la Grande-Bretagne et de l’Allemagne.

Martine Brunschwig Graf, conseillère nationale et vice-présidente du groupe, constate :

« Les socialistes veulent développer l’Etat fouineur au lieu de soutenir une solution pragmatique comme l’impôt libératoire. Ils privilégient l’idéologie plutôt que l’économie suisse ».

Contacts:

Martine Brunschwig Graf, vice-présidente du groupe, 079 507 38 00

Stefan Brupbacher, secrétaire général, 079 789 13 81

Philippe Miauton, porte-parole, 079 277 68 41