PLR.Les Libéraux-Radicaux déplore le refus de l’accord sur l’impôt libératoire par le Bundesrat emmené par une majorité de gauche. Au sein du Bundestag allemand, l’accord avait été clairement accepté. Sans cet outil, chaque année des milliards d’Euros seraient prescrits – l’estimation du montant de la moins-value fiscale s’élève à 1,5 milliards d’Euros, uniquement pour 2014. Néanmoins, les partis de gauche ont usés de leur majorité afin de réaliser un coup tactique servant la campagne électorale. De ce fait, ils nuisent aux contribuables et à eux-mêmes puisque sans l’accord se sont des recettes pour les Länders et les communes qui seront perdues.
Pour autant, le parti libéral-radical ne tire pas un trait sur cet accord. Au contraire, le PLR mise sur la commission de conciliation afin de parvenir à une entente entre le Bundestag et le Bundesrat. Les libéraux-radicaux rejettent les exigences de la gauche allemande concernant des négociations ultérieures, particulièrement sur le sujet de l’échange automatique d’informations. Le Conseil fédéral doit poursuivre la stratégie actuelle et conclure des accords analogues avec d’autres Etats. L’assemblée des délégués du PLR d’octobre a adopté une résolution qui a clairement souligné sa position en faveur de cette stratégie.
Entamée en 2009, la « Weissgeldstrategie » du PLR.Les Libéraux-Radicaux est la base pour une place financière saine et forte. Les accords sur l’impôt libératoire représentent un élément clé de cette stratégie. Ils permettent de créer une sécurité juridique tout en garantissant le respect de la sphère privée des citoyens helvétiques. Les accords déjà ratifiés avec le Royaume-Unis et l’Autriche prouvent que nous sommes sur la bonne voie – par amour de la Suisse.
Contacts:
Philipp Müller, président PLR.Les Libéraux-Radicaux, 079 330 20 79
Gabi Huber, présidente du groupe parlementaire Libéral-Radical, 076 331 86 88
Isabelle Moret, vice-présidente PLR.Les Libéraux-Radicaux, 079 332 08 23
Stefan Brupbacher, secrétaire général, 079 789 13 81