Dire « oui, mais… » à l’accord cadre revient presque à dire « non ». Ces « mais » sont, en effet, liés à des exigences catégoriques, ne pouvant être satisfaites. Une situation désastreuse en résulterait, ramenant la Suisse des années en arrière. Certes, des améliorations doivent encore y être apportées, mais soulignons que l’accord cadre se trouve pour l’heure aux prémices d’un long processus et, qu’en fin de compte, la population doit être impliquée dans la décision.