La Suisse votera sur la loi fédérale sur les mesures policières de lutte contre le terrorisme (MPT) le 13 juin. La ministre de la justice Karin Keller-Sutter explique pourquoi la loi comble une importante lacune.
Michael Hänzi, copropriétaire de Talus Informatik AG (Talus), soutient la loi sur le CO2. Pour l'entrepreneur, il est évident qu’inciter à un comportement respectueux de l'environnement peut faire la différence. Ainsi, par exemple, l'entreprise bernoise produit elle-même un tiers de ses besoins en électricité.
Les donneurs d’organes sont peu nombreux en Suisse, ce qui pose des problèmes à toutes les personnes qui nécessitent une transplantation. Modifier la loi sur la transplantation en passant d’un système de consentement explicite à un système de consentement présumé permettrait une augmentation significative du nombre de donneurs. La liberté resterait assurée grâce à la possibilité de s’opposer de son vivant à ce que ses organes soient prélevés.
En signant l'Accord de Paris sur le climat, la Suisse s'est engagée en 2017 déjà aux côtés de 190 autres pays à apporter sa contribution pour que la communauté internationale puisse limiter à 1,5° le réchauffement climatique. La loi sur le CO2 est conçue pour être compatible avec les intérêts économiques, comme en témoigne notamment le large soutien que le secteur de l’économie lui accorde. L'Alliance pour le Oui est composée de presque tous les partis (PLR, Le Centre, Les Vert-e-s, PVL, PEV et PS), de nombreuses associations économiques et de plus de 90 organisations de la société civile.
L’économie suisse ne subit pas uniquement la pandémie liée au Covid-19, mais elle croule aussi sous la bureaucratie. La complexité de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), en particulier, pèse lourdement sur les entreprises. Aujourd’hui, le PLR remet le sujet du taux unique sur la table car cette réforme permettra au pays d'économiser des centaines de millions de francs par an en coûts bureaucratiques inutiles.
La session parlementaire de printemps vient de toucher à sa fin. Elle s’est déroulée du 1er au 19 mars 2021 et a été, une fois encore, particulièrement chargée. Parmi les très nombreux objets qui ont été traités, le PLR.Les Libéraux-Radicaux souhaite revenir sur sept d’entre eux ; modification de la loi Covid-19, réforme de l’AVS, initiative sur les soins infirmiers, initiative 99%, contre-projet à l’initiative « stop à l’îlot de cherté », contre-projet à l’initiative sur la transparence et politique agricole 22+.
Notre élément de sécurité sociale le plus important, l'AVS, doit être assaini de toute urgence. Depuis 1997, plusieurs tentatives de réforme ont échoué. Je suis très heureux d'avoir pu contribuer à ce que le Conseil des États remette la réforme de l'AVS sur de bons rails après un traitement en commission largement insatisfaisant.
Le 3 février dernier, le PLR a présenté à la Confédération son plan d'action de sortie de crise pour les 100 prochains jours. Le premier bilan après 30 jours montre que la sécurité de la planification ne s'est toujours pas améliorée. Par ailleurs, il est essentiel d’accélérer le plus rapidement possible la cadence de vaccination.
L’initiative 99% de la Jeunesse socialiste déforme la réalité et ne fait qu’attiser des conflits inutiles. Tout comme le Conseil national, le Conseil des États refuse de mettre en péril la répartition des revenus en surimposant une partie de la population qui rapporte à elle seule 40% des recettes fiscales.